I. LE PERSONNAGE.

• NOM : Fireheart
• PRÉNOM : Akimitsu
• GENRE : Masculin
• ÂGE : 22 ans
• NATIONALITE : Japonais
• CLASSE & MÉTIER : Kendoka professionnel
• STATUT MARITAL : Célibataire
• GROUPE DESIRE : No name
• ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel
• AVATAR : Akira de Togainu no chi

II. LES DESCRIPTIONS.

Il a peut-être une tête de truand mais au fond Akimitsu est plutôt quelqu’un d’aimable. Malgré le fait qu’il paraisse froid et qu’il soit distant avec tout le monde, il ne refuse jamais d’aider autrui lorsque l’on lui demande, tant qu’il considère que cela est bien d'un point de vue moral. Agissant parfois de manière irréfléchie, il rechercha toujours à se faire pardonner si cela est nécessaire. Ayant eu des problèmes de communication avec sa mère étant plus jeune, il a développé, avec le temps, des difficultés à communiquer avec mes femmes en général. Ce problème le perturbe, allant jusqu’à lui provoquer une insomnie de temps à autre, car il cherche à rencontrer quelqu’un.

Grand adepte du kendo, il est également passionné par le tir à l’arc ainsi que par l’escrime. Ces sports furent une issue de secours pour lui, car n’étant pas particulièrement mauvais élève mais ayant un mauvais sens du contact, il eut du mal à ne pas foncé dans le mur. À présent, il s’adonne avec plaisirs à sa discipline, il participe même à des compétitions national, mais même malgré cela, il reste un ‘’petit’’ kendoka.

En dehors du kendo, et du sport en général, il apprécie beaucoup lire et est également un grand joueur de Rpg dit papier. Lorsqu’il ne pratique ni sport, ni l’une de ses deux autres passions, il n’est pas rare de le croisé en ville, se baladant tranquillement, souvent à la recherche un coin paisible sous un arbre et plus particulièrement, sous un cerisier, afin de faire une petite sieste. Lorsqu’il sort pour autre chose que l’entrainement, il a pris l’habitude de prendre son ken, son sabre, avec lui car il lui arrive de s’improviser un petit entrainement de temps à autre.

Dans la moyenne des tailles du haut de ses 177 cm et de corpulence plutôt faible avec ses 59 kg. Akimitsu a les cheveux quelques peu blond-châtain, ses yeux sont bleu-gris, le tout est sur un visage plutôt pointu avec un menton assez plat, lui donnant un tête de truand. Les épaules ni trop large, ni trop étroite, ses muscles sont, de manière général, assez visible malgré la finesse de ses membres, grâce à son entraînement.

Souvent vêtue d’un t-shirt blanc à manche longue, il enfile par-dessus un t-shirt violet à manche courte et porte un jean noir et des bottes. Il a un bracelet en acier à la main gauche, une boucle en argent à l’oreille droite ainsi qu’une bague à la main droite. Lorsque le temps l’y contraint, il revête une veste mauve foncée, lui arrivant au niveau des genoux. Il porte sur son épaule droite, l’étui de son sabre. Dans le dos, il a, tatoué, une croix stylisée et les kanjis  « 顕光 » sont tatoués sur son épaule gauche.

III. L'HISTOIRE.

Iwakura… Une ville plutôt sympa, la rivière Gojõ-gawa y coule et les cerisiers y sont superbes, rien ne pouvait le changer d’avis à ce sujet. C’est dans cet environnement qu’a grandi Akimitsu. Passant le plus clair de son temps adossé à un arbre pour piqué une petite sieste, c’était la belle vie. Mais il y avait les cours, d’accord, cela l’empêchait de profiter de son repos sous les cerisiers mais bon, s’il voulait pouvoir en profiter, il devait bosser.

Rapidement, les notes chutèrent et le dialogue avec sa mère devenait de plus en plus difficile. On commence avec : « Il faudrait travailler un peu plus » et un : « Ouai, ouai… » En guise de réponse, puis on passe à : « Faudrait te bouger sérieusement. » et toujours la même réponse. Au final, sa fini mal.

« Aki… Il faut qu’on parle… Cela ne va pas du tout… Tes notes ne vont que chutées, si tu continues comme ainsi, je t’enverrais en internat.
-C’est pas sérieux !?
-Et si.
-Jamais j’irai en internat !
-Alors faudrait te bouger ! Soit tu fais quelque chose, soit c’est l’internat !! »

Puis sa mère partit en claquant la porte. L’internat… Puis quoi encore ? Les jours continuèrent de passer et le dialogue devenait de plus en plus houleux. À la veille de ses seize ans, il fugua. Prenant les transports en commun pour se déplacer et effectuant de petit travail ici et là, il errait de ville en ville. Si sa mère croyait le revoir un jour, elle se fourrait le doigt dans l’œil.

Son vagabondage le mena dans une ville du nom de Hoshiyo. Là, il trouva quelqu’un qui voulut bien l’hébergé en échange d’aide dans son magasin. La vie prit alors un cours plus tranquille, un jour il aidait à déplacé les produits, l’autre, il s’occupait du nettoyage. Un week-end, il vit la personne qui l’hébergeait s’entrainer dans le jardin. Il l’observa durant la durée de l’exercice. Lorsque ce dernier eut fini, il lui demanda :

« Excusez-moi, mais que faisiez-vous ?
-Je m’exerçais au kendo.
-Le kendo… Se levant soudainement, il le regarda, les yeux rempli d’étoile, Pouvez-vous m’apprendre ? »

L’autre semblait surprit mais également amusé. Il lui lança alors un sabre en bambou et lui fit signe de venir.

« Jusqu’à quel niveau souhaiterais-tu apprendre ?
-Autant que vous le pouvez.
-Bien… Commençons. Kya ! »

Et ils commencèrent l’entrainement. Durant les années qui suivirent, pendant la journée, il aidait au magasin et le soir, il s’exerçait au kendo. Lorsqu’il fut en âge, il passa un concours et fut reconnu kendoka professionnel. Il n’arrêta cependant pas les efforts, à présent, il participe au compétition nationale et gagne suffisamment pour se loger et vivre tranquillement dans cette ville qui est devenu son foyer.

IV. DERRIÈRE L'ECRAN.