> Agit de manière très féminine lorsqu'elle n'est pas en situation de combat, comme une véritable "fille innocente".

> N'éprouve aucun scrupule à faire ce que son Subconscient lui demande

> Insensible à la vue du sang ou aux atrocités commises devant elle, ou qu'elle commet elle même..

Voici une jeune fille fondamentalement mauvaise. Elle est parfaitement consciente d'être folle et surtout psychopathe mais cela lui plaît. "La folie est ma plus grande qualité..." dit-elle tout le temps.

Cassette n°1

- Regardez, elle ouvre les yeux!
- Très bien, notez tous ses gestes.
- Bien monsieur!
Bruits d'un stylo grattant le papier puis de draps que l'on froisse
- Oh! Ayumi, ne vous levez pas, pas encore!
- Ha... Hahahahahaha!!!
Cris aigus puis bruits d'instruments que l'on entrechoque
- Ne faîtes pas ça... NOOOOOOON!!! À L'AIDE!!! AU SECOU...
- Ta gueule!
Hurlement de douleur puis plus rien

Fin de la cassette



Journal du chef du service psychologie

Le corps du docteur K a été retrouvé aujourd'hui, atrocement mutilé. Des coupures sur tout le corps mais surtout les yeux arrachés et la gorge largement ouverte. Les traces de sang son présentes partout dans le laboratoire: sur les murs, les instruments médicaux, le lit de Ayumi... Une scène de film d'horreur.
La jeune fille était assise à côté du corps, les mains plongée dans le corps du docteur, riant à gorge déployée et les yeux fous. Je n'avait jamais vu ça.
Je me suis approché et elle m'a regardé. Son regard m'a fait peur et elle a voulu me sauter dessus, faisant gicler du sang de partout. Heureusement, l'équipe est arrivée à ce moment et l'a maîtrisée. Soudain, Ayumi s'est calmée et a regardé partout. Je la voyais, son visage se décomposait au fil des secondes et, d'un coup, elle s'est mise à hurler et se débattre. Elle paraissait paniquée, effrayée. De surprise, les hommes l'ont lâchée et elle est allée s'enfermer dans les toilettes pendant 1 semaine. Impossible de la faire sortir.
Mais quand enfin on a réussi, Ayumi avait tout oublié et ne voulait qu'une chose: que l'on ne l'approche pas.

Fin du journal


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