| Sujet: Un atterrissage forcé (libre) Dim 12 Fév - 22:48 | |
| Je ne me suis jamais aussi sentis mal.
Le pilote de l'avion avait atterris comme un pied ! Il se prenait dans une auto école ou quoi ? Les transport comme ça ou le train de toute façon c'est pas trop mon truc. Fin' Bref me voila a Hoshiyo... Du moins pour l'instant j'étais posté dans les toilettes de l'aéroport... Et je vous épargne la suite parce que c'est pas très glamour... Après une heure de nettoyage je remet mon cache oeil et sors enfin de cet enfer. L'aire faire me saisi aux os. Mes habitudes ne se perd pas et je m'allume une cigarette. Je marmonne quelques injures et marche un peu je devais trouvé un hôtel pour le moment. Je vois quelques demoiselles et quelques flatteries après je sais a quel hôtel aller. Mais je les quitte un peu apres, j'ai le droit à un petit comité d'accueil une famille opposé a la mienne est venus et je ne veux pas impliquer des jeunes filles la dedans. Seulement la j'étais pas au top de ma forme avec cet atterrissage sportif et je n'ai pas envie non plus de me battre. M'enfin je me dis sa tous les jours et au final je me bat. mais la j'ai un mal de crane et une envie de vomir. A peine arrivé qu'on me cherche des noises... J'en ai vraiment marre...
Ecoutez... Je pense qu'on peut trouver un terrain d'entente avant que je m'énerve... alors poser moi vos questions et si c'est pas une grosse info que vous voulez je vous fais un prix bas...
Mes belles paroles n'ont pas l'aire vraiment de les atteindre dans leur cœurs... Les voila qui me présente des revolvers, des couteaux et... des barres de fer ?
Etes vous sérieux ? Vous vous croyez de retour aux moyen age ?
Un soupire sort de ma bouche et je sors et couteau. Pauvres gars. Leur vies allait être courtes...
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Iren Nakahara
Messages : 15 Date d'inscription : 09/02/2017 Age : 25 Localisation : Plage - Centre ville
| Sujet: Re: Un atterrissage forcé (libre) Lun 13 Fév - 21:07 | |
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Aujourd’hui était un jour de congés, et Iren comptait bien en tirer profit au maximum pour explorer les environs de cette ville qui ne lui était pas encore familière. Le ciel était clair, il n’y avait pas trop de personnes, et son dos ne la faisait pas horriblement souffrir pour le moment. Bien sûr, il y avait toujours cette douleur immuable, mais vivant constamment avec, la jeune femme avait appris à relativiser. Rien alors n’était parti pour troubler sa bonne humeur ; même sa tenue aux couleurs vives –une robe rouge s’accordant avec ses cheveux, et des ballerines vertes, les talons lui étant prohibés de toute manière, s’accordait à son caractère.
La rouquine s’aventurait dans les rues inconnues à son rythme, c’est-à-dire lentement et sans se hâter, essayant de profiter des environs bien que son propre pas ne l’agace un peu. Elle s’éloignait du centre-ville. Jetant un coup d’œil aux panneaux, Iren remarqua qu’elle s’aventurait de plus en plus proche de l’aéroport, et se trouvait dans un quartier où les hôtels se côtoyaient. C’était un peu loin de chez elle, non ? Tant pis, si elle se sentait trop fatiguée elle prendrait un taxi pour rentrer, ce n’était pas ce qui devait manquer, ici.
Un sourire doux accroché aux lèvres, elle savait qu’elle attirait quelques regards, à errer ainsi sans but. Enfin, pas que cela la dérange ou qu’elle y prête une quelconque attention ; lorsqu’elle dansait encore, c’aurait été un comble pour elle que d’être gênée par l’attention qu’on lui portait. Et les collants opaques qu’elle portait prévenaient tout regard de se poser sur la cicatrice qui barrait sa jambe. Alors, tout allait bien. L’islandaise n’était pas nerveuse, bien qu’elle n’ait aucune idée de où elle se trouvait précisément. C’était pour ça qu’on avait mis au point le GPS sur son téléphone, après tout, non ? Regardant autour d’elle, l’ancienne danseuse finit par apercevoir un groupe. Elle n’aimait pas vraiment l’idée de s’adresser à autant de personnes, mais ce n’est pas comme si elle avait le choix, voulant préserver sa batterie. Avoir son téléphone en état de marche était crucial pour elle en cas de problème.
S’avançant doucement, Iren se perdit un peu dans ses pensées, semblant revenir à la réalité lorsqu’elle aperçut un homme, seul, face au groupe vers lequel elle se dirigeait. Il semblait exaspéré, est-ce qu’il y avait un problème ? Ses paroles l’intriguèrent. Des informations ? Comment ça ? A moins que…
Oh, merde.
Les hommes devant lui avaient sorti des armes. C’était un règlement de comptes. Merde, merde, merde, elle n’avait pas été prévenue que la mafia était impliquée dans cette petite ville !... bon, d’accord, elle ne s’était pas vraiment renseignée aussi. Mais tout de même. Se plaquant contre le mur, la jeune femme pria seulement pour qu’ils ne la remarquent pas. Et sa tenue, rouge, bien trop voyante ! Iren hésitait à appeler la police ; si elle le faisait, ils la remarqueraient de plus belle et risqueraient de s’en prendre à elle. Fuir n’était pas une option, il lui était impossible de courir. Et elle ne pouvait pas s’éloigner de la scène comme une fleur. Son cœur rata un battement lorsqu’elle vit le regard de l’un des hommes du groupe glisser vers elle. Qui avait dit que ce serait une bonne journée, déjà ?
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